profIL et vision

J’évolue dans le domaine de la santé et du mieux-être depuis plus de 20 ans. D’abord à titre de gestionnaire, puis de consultante, j’ai pu y expérimenter de multiples facettes du continuum de la santé, de la promotion de la santé aux soins de fin, en passant même par la santé et le mieux-être au travail. Et ce, tant auprès du réseau public que d’organisations privées, à but lucratif ou non.

Après avoir obtenu une maîtrise en droit et politiques de la santé en 2015 et vécu une difficile expérience de proche aidance d’aîné en 2018, j’ai décidé de recentrer mes activités professionnelles sur le vieillissement et la fin de vie. Notamment sur la proche aidance et la littératie juridique en santé s’y rattachant.

Je crois profondément que de meilleures connaissances et compétences juridiques en santé, chez les aînés, les proches aidants ainsi que chez l’ensemble des acteurs évoluant auprès de ceux-ci, seraient bénéfiques pour la société. Elles contribueraient à la santé et à la qualité de vie des aînés et des proches aidants, à des décisions plus éclairées, au respect des droits et à la sauvegarde de l’autonomie des aînés et des proches aidants, voire à des milieux de travail, à des soins et des services ainsi qu’à des politiques mieux adaptés aux besoins et aux réalités d’une société vieillissante. Afin d’acquérir les données permettant de soutenir cette vision, j’ai débuté un doctorat en gérontologie en 2019.

La pandémie de COVID-19 a grandement malmené les droits des aînés et des proches aidants. Elle a aussi contribué à augmenter les inégalités économiques entre les hommes et les femmes, entre autres à cause des responsabilités du « prendre soin » (du « care ») plus importantes assumées par celles-ci. La pandémie en a indigné plusieurs. Pour ma part, elle a grandement renforcé ma volonté de contribuer activement à la démystification du vieillissement, à la lutte contre l’âgisme et au développement ainsi qu’à la promotion du vieillissement actif et en santé, de la littératie juridique en santé ainsi que de la proche aidance en emploi.

En résumé : Dans notre société vieillissante, mon objectif est de mieux outiller les proches aidants d’aujourd’hui, les aînés de demain et les acteurs qui gravitent autour d’eux.


Quelques emplois et mandats

J’ai entre autres assuré la direction générale de la Maison de Soins Palliatifs de Laval, la direction des communications et des relations avec la communauté du CSSS du Suroît, la direction nationale des affaires publiques et des communications scientifiques de la Société de recherche sur le cancer et la direction des communications et du marketing de la Société canadienne du cancer, division du Québec, en plus d’avoir réalisé divers mandats de consultation dans des organisations de santé, de mission et de taille variées.

Plus récemment, j’ai conseillé la Fédération québécoise des Sociétés Alzheimer dans le développement du canevas de sa formation de 30 heures à l’intention des professionnels et intervenants de la santé (2020), codéveloppé avec Global-Watch des outils sur la proche aidance en emploi à l’intention de ses adhérents internationaux, plus spécifiquement leurs directions RH et gestionnaires (2021) et accompagné la Fédération de l’habitation coopérative du Québec dans son projet “Aînés, transmetteurs de connaissances”.

Depuis mon entrée au doctorat, j’ai aussi participé à quelques mandats de recherche et j’ai partagé la charge du cours “Société vieillissante et participation sociale des aînés” offert aux étudiants de 2e cycle en gérontologie à l’Université de Sherbrooke.

Vous voulez en apprendre davantage sur mon parcours professionnel? Vous pouvez aussi consulter :  linkedin.com/in/marieclaudelafleur


Formation

  • Doctorat en gérontologie, Université de Sherbrooke (2019 – … )

  • Microprogramme de 3e cycle en pédagogie de l’enseignement supérieur, Université de Sherbrooke (2022)

  • Maîtrise en droit et politiques de la santé, Université de Sherbrooke (2015)

  • Baccalauréat en administration des affaires, HEC Montréal (1990)


affiliations